La situation financière du groupe Doux, fortement implanté dans le tissu industriel finistérien et breton, fait craindre des répercutions majeures pour l’économie de notre département, qui est, et doit rester, une terre de production agricole et agro-alimentaire.

Je tiens à exprimer ici tout mon soutien à l’ensemble des salarié.e.s du groupe, ainsi qu’aux éleveurs, qui toutes et tous travaillent et portent l’entreprise malgré la situation instable qu’elle vit depuis plusieurs années.

Je souhaite saluer leur engagement.

En tant que présidente du Conseil départemental du Finistère, attentive à la situation de l’emploi et à la cohésion sociale comme au développement équilibré du territoire, je suis depuis ces derniers mois en lien étroit avec Loïg Chesnais-Girard, Président du Conseil régional sur ce dossier majeur. Nous partageons le même souhait qu’une solution pérenne soit trouvée pour assurer l’avenir de l’entreprise finistérienne, l’inscrire dans une dynamique de développement, durable, et garantir le maximum d’emplois.
J’espère que le travail mené par les partenaires, qui a abouti au dépôt de deux offres, ouvrira de possibles sorties positives de cette situation de crise.

 Quimper le 30 mars 2018

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