Le glyphosate contient des substances qui bloquent la production d’enzymes des plantes et les détruit.

Cet herbicide a été classé en 2015 par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC, qui dépend de l’OMS) parmi les « cancérogènes probables » pour l’homme.

Depuis le 30 mai, on sait aussi qu’il permet aux électeurs de voir plus clair dans la sincérité des engagements des députés LREM. « Nous mettons en œuvre tout ce que nous avions promis », ne cessent-ils de répéter. Mais lorsque qu’un amendement prévoit d’écrire noir sur blanc, dans la loi, que le glyphosate sera interdit d’ici trois ans, certains le votent mais d’autres le rejettent et la très grande majorité trouvent autre chose à faire que de voter.

On verra dans trois ans, où en est la consommation de glyphosate. Mais en l’absence de texte, il est malheureusement à craindre qu’il soit toujours utilisé.

PS29

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