Quimper en confiance
Le 15 mars, la liste menée par Isabelle Assih est arrivée en tête à Quimper (32%). La période de confinement ne peut que les conforter dans ce choix. En effet, les derniers événements confirment la pertinence du projet que porte son équipe. Dans une Lettre aux Quimpéroises et aux Quimpérois, Isabelle Assih appelle les électrices et les électeurs à faire le choix d’un nouveau maire pour marquer un nouveau départ pour Quimper et son agglomération. Pour la candidate « l’engagement des services municipaux est à souligner. Pour la rentrée de septembre 2020, nous mettrons les moyens nécessaires pour que les services publics municipaux soient en capacité de répondre aux besoins de tous. Dans ce cadre, il nous faudra anticiper la rentrée scolaire des enfants dans toutes les écoles maternelles et élémentaires afin de garantir la poursuite des protocoles sanitaires en vigueur et de renforcer l’accompagnement des plus jeunes enfants dans les classes. La préparation de la rentrée, c’est aussi anticiper sur la reprise de la vie associative, sportive et culturelle. Il nous faudra travailler de manière efficace et volontariste pour favoriser la reprise des différentes activités dans les meilleures conditions possibles. Une attention particulière doit être portée aux établissements qui accueillent les personnes âgées. » A contrario, le maire sortant, Ludovic Jolivet, a lui aussi démontré son incapacité à incarner la confiance. Alors qu’il aurait dû associer l’ensemble des forces politiques, il s’est enfermé dans l’hôtel de ville. L’échec des tractations de dernière minute avec la liste LREM montre que le maire sortant n’est pas en capacité d’incarner une démarche collective. Sa majorité s’était déjà fracturée et ses relations avec les autres collectivités de Cornouaille étaient exécrables. Le 28 juin, Quimper doit changer d’ère et changer de maire. « Avec mon équipe, mariage de l’expérience et du renouvellement, je vous propose de faire le choix de la confiance et de la cohérence pour engager les transitions nécessaires à notre ville et notre territoire », conclut Isabelle Assih.
Article publié dans le Cap Finistère n°1315 du 12 juin 2020